Franchement épaté par le nouveau roman « Seules les bêtes », il m’a semblé judicieux de poser quelques questions à l’auteur sur le fond du roman comme sur la forme sans dévoiler les multiples surprises qui attendent le lecteur. L’entretien est tout frais du jour, par échange de mails. J’en profite pour remettre la chronique afin que le lecteur sache un peu de quoi on parle.
Après trois romans situés en Guyane, Colin Niel quitte l’Amérique du Sud pour le Massif Central. « Obia » publié en 2015 a d’ailleurs obtenu le prix des lecteurs à QDP l’an dernier. Si ce prix ne brille pas par l’originalité de sa sélection, il a néanmoins récompensé des auteurs hautement recommandables de DOA à Malte en passant par Varenne pour n’en citer que quelques-uns. Nul doute que cette auréole a dû finalement peser lourd pour l’auteur au moment où il changeait complètement d’horizon, d’univers. Continue reading
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