Commencer l’année avec un Neo Noire de Gallmeister est une assurance de l’entamer sans ennui mais aussi peut-être sans réelle surprise non plus. Cette collection spécialisée dans les romans narrant les tristes exploits de blancs ruraux plus ou moins cramés par la meth a déjà fait ses preuves et même offert parfois le grand bonheur comme avec Whitmer pour « Cry Father ». Continue reading