J’ai découvert Glenn Taylor par hasard quand La Ballade de Gueule-Tranchée était sorti en poche. J’avais saisi ce bouquin dont le titre m’évoquait déjà un type avec un bec-de-lièvre ou la marque d’un vicieux coup de lame dans la face, persuadé qu’il allait me causer. Je l’avais acheté puis lu et n’avais pas été déçu. Sur ce blog qui publie régulièrement des papiers sous la titraille « Mon Amérique à moi », je conseille la lecture au préalable (ou bien alors vite après) de l’Amérique de Gueule-Tranchée, héros atypique, dont on suit les aventures sur ses 108 années d’existence dans son terroir de Virginie-Occidentale. Car ses aventures bien à lui nous racontent quelque chose de l’Amérique.

 

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